A la lumiére des Saintes Ecritures...

A la lumiére des Saintes Ecritures...

Exhortation...


Dieu est notre allié...

 

 

 

 

 

 

Christ, le Seigneur, doit être reconnu et obéi au sein de son peuple. Il est le substitut de Dieu et parle au nom du Père, et nous avons à obéir implicitement et immédiatement à ses commandements. En négligeant ce précepte, nous perdons l'avantage de la promesse.

Quelle immense bénédiction il y a dans une parfaite obéissance! L'Eternel entre avec son peuple dans une alliance offensive et défensive. Il bénit ceux qui nous bénissent et maudit ceux qui nous maudissent. Dieu est de coeur et d'âme avec les siens; il est toujours en sympathie avec eux dans toutes leurs situations. Quelle protection ceci nous promet! Nous n'avons pas à nous préoccuper de nos adversaires, quand nous savons qu'en s'opposant à nous ils deviennent les adversaires de Dieu. Si l'Eternel prend sur Lui de nous défendre, nous n'avons qu'à laisser nos ennemis entre ses mains.

Pour autant que nos intérêts sont en jeu, nous n'aurons pas d'ennemis; mais dès que la cause de la vérité et de la justice est menacée, nous prenons les armes et courons au combat. Dans cette guerre sacrée, nous sommes les alliés du Dieu éternel, et si nous obéissons ponctuellement à notre Seigneur Jésus, il est engagé à déployer sa puissance en notre faveur. Ne craignons donc pas les hommes.


09/12/2012
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Une sérieuse mise en garde pour nous, croyants

 

 

 

 

 

 

 

 Ce récit est l'occasion d'attirer sérieusement notre attention sur l'importance pour un enfant de Dieu de choisir très soigneusement ses amis. David aurait dû toujours faire siennes les paroles du Psalmiste : « Je suis le compagnon de tous ceux qui te craignent et de ceux qui gardent tes préceptes » (Ps. 119 : 63). Chaque croyant doit faire ce choix délibéré et capital (1 Cor. 15 : 33 ; Ps. 1 : 1 ; Job 34 : 8).
            Rien, dans la Parole, n'indique qu'Akhitophel ait eu une conduite personnelle comparable à celle du compagnon de jeunesse de David, Jonathan. Ce dernier avait montré sa foi au milieu de l'incrédulité générale et il avait fait ses preuves contre les Philistins, en comptant sur l'Eternel seul ! Il avait su ensuite reconnaître chez David les mêmes exercices de foi et montrer aussitôt un attachement profond à cet homme de Dieu. Il était venu vers lui dans le bois, pour « fortifier son âme en Dieu » (1 Sam. 23 : 16). « L'ami aime en tout temps » (Prov. 17 : 17).
            Dans cette scène de la vie du bien-aimé de l'Eternel, on peut discerner plusieurs autres amis fidèles de David : Itthaï, Mephibosheth, Shobi, Makir et Barzillaï… Chacun est prêt à jouer auprès de lui le rôle que le Seigneur lui a confié.
 
            Toutefois, dans un monde où règne la fraude, dans lequel nous sommes devenus des étrangers, il faut s'attendre à rencontrer de « faux amis ». Restons constamment sur nos gardes, marchons soigneusement dans la lumière (Ps 119 : 105). Gardons notre coeur plus que tout ce que l'on garde, car de lui sont les issues de la vie (Prov. 4 : 23).
            Souvent, pour de jeunes chrétiens, ce qui paraît être une simple amitié, sans conséquences, se transforme peu à peu en relations d'un caractère plus intime. La Parole nous met sérieusement en garde contre le grand danger de se mettre sous un joug mal assorti avec un incrédule (2 Cor. 6 : 14-16).
            Ceux qui nous entourent à l'école, au travail, ont souvent au début bonne apparence : « Satan lui-même se transforme en ange de lumière » (2 Cor. 11 : 14). Ils sont - ou paraissent - animés des meilleures intentions. Mais tous ceux qui ne sont pas des enfants de Dieu restent sous l'esclavage du diable. Il faut s'en souvenir, même si nous désirons qu'ils soient sauvés.
            Dans cette scène, un certain Tsiba se présente. Cet homme vient à la rencontre de David avec un chargement impressionnant, et affiche de beaux sentiments à l'égard du peuple fatigué.
            Or hélas, il manque de droiture ; interrogé par David au sujet de l'absence de Mephiboseth, il lui prête des mobiles qu'il n'a jamais eus, pour s'emparer de son héritage (2 Sam. 16 : 1-4) ! L'Ecriture nous met en garde contre ceux qui peuvent chercher à détourner notre âme de Christ et nous entraîner à servir les idoles qui remplissent ce monde de péché. Ce peut être des proches parents, « ton frère… ton fils ou ta fille…» ou ton ami, qui est pour toi « comme ton âme » (Deut. 13 : 6-11).
            Les exemples d'une si mauvaise influence abondent dans l'Ecriture. Citons Athalie, la mère d'Achazia : elle fut « sa conseillère à mal faire », ainsi d'ailleurs que toute la maison d'Achab (2 Chr. 22 : 3-4). On comprend que dans un temps très sombre, à la veille de la prise de Jérusalem, Jérémie puisse écrire : « Gardez-vous chacun de son ami… chacun d'eux trompe son ami et ne dit pas la vérité » (Jér. 9 : 4-5).

 Le Seigneur reste notre Conseiller par excellence : c'est l'un de ses titres de gloire (Es. 9 : 6 ; 11 : 2). Restons tout près de Lui. A tout homme pieux qui Le cherche par la prière et pratique le jugement de lui-même, Il promet : « Je t'instruirai et je t'enseignerai le chemin dans lequel tu dois marcher : je te conseillerai, ayant mon oeil sur toi » (Ps. 32 : 6-8). A l'assemblée à Laodicée, il fait dire par Jean : « Je te conseille d'acheter de moi de l'or passé au feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu, et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime » (Apoc. 3 : 18-19). Certainement, nous avons tous à retenir de tels conseils, dans un temps où la tiédeur prévaut.
            Sur la terre où nous sommes « forains et étrangers » (1 Pier. 2 : 11), il est certes précieux d'avoir un véritable ami chrétien ! Il faut le considérer alors comme un don précieux de la part de Dieu. « La douceur d'un ami est le fruit d'un conseil qui vient du coeur » (Prov. 27 : 9). Animés d'une foi commune, nous pourrons ressembler à ces fidèles qui, à la fin de l'économie de la loi, craignaient l'Eternel et parlaient l'un à l'autre (Mal. 3 : 16) ; nous pourrons tenir ferme dans un seul et même esprit et combattre ensemble d'une même âme (Phil. 1 : 27).
            « Veillons les uns sur les autres pour nous stimuler à l'amour et aux bonnes oeuvres … nous exhortant l'un l'autre, et cela d'autant plus vous voyez le jour approcher » (Héb. 10 : 24-25). 
 

06/12/2012
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Vous souffrez...

 

 

 

 

 

 

Les informations du monde rapportent chaque jour leur lot de mauvaises nouvelles, guerres, catastrophes naturelles, épidémies etc. Et la vie quotidienne de chacun est parsemée, à des degrés divers, de soucis de toutes sortes, de crises, de peines plus ou moins profondes et durables. Alors, comment faire face?

Ouvrons la Bible! Parole unique parmi toutes les paroles du monde, parole sage, vivante, profonde, efficace et souveraine au-delà de tout remède, la Bible est bien la Parole de Dieu. Nul ne console mieux qu'elle, nul ne réconforte mieux dans la détresse, et aucune amitié ne remplacera l'amour de Celui qu'elle présente: Jésus Christ. Celui qui croit en lui le découvre d'abord comme un Sauveur. Alors, ses yeux s'ouvrent, et toute la Bible prend vie devant lui et l'interpelle.

Quant à vous, malgré ce que vous pouvez vivre actuellement, Dieu veut votre bonheur. Ses pensées à votre égard sont “des pensées de paix et non de mal, pour vous donner un avenir et une espérance” (Jérémie 29. 11). Même s'il est parfois difficile de l'admettre, osez faire le pas de la foi et entreprenez avec confiance la lecture de la Bible. À votre tour, vous y découvrirez le Sauveur et l'Ami dont vous avez besoin.

Si vous souffrez, lisez les Psaumes, qui rapportent les expériences de nombreux croyants dans la détresse. Mais lisez aussi et plus encore les évangiles qui nous montrent Jésus, qui est venu nous visiter et nous sauver. Méditez-les aux moments sombres de votre vie et gardez-les précieusement, pour votre consolation, et peut-être pour aider un jour ceux qui souffrent.


25/11/2012
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Quand on devient insensible au Saint Esprit…

 

 

 

 

 

 

Quand nous naissions de nouveau après avoir accepté Jésus Christ comme Seigneur et Sauveur, une chose importante se passe dans notre cœur. Le Saint Esprit entre en nous et Il prend toute la place. Par la suite, Il influence notre être entier afin que notre vie soit au fur et à mesure façonnée par Lui  pour plaire à Dieu. Après ces paroles, il souffla sur eux, et leur dit : Recevez le Saint-Esprit Jean 20:22.
Habitant en nous, le Saint Esprit nous parle, nous oriente, nous convainc, nous persuade, nous guide, nous remplit de Lui, nous avertit, nous fortifie, nous console, nous restaure, etc…Mais pour pouvoir faire tout cela, il a besoin que nous soyons sensibles à ses actions, sensibles à Sa voix, sinon rien ne se passera…

Le non converti est celui qui n’a aucune sensibilité au Saint Esprit, qui vit sa vie selon la chair. Le rétrograde est une personne qui est devenue insensible au Saint Esprit ; c’est pour cela qu’il retournera à son ancienne vie.  Etes-vous tellement dépourvus de sens ? Après avoir commencé par l’Esprit, voulez-vous maintenant finir par la chair ? Galates 3:3  

De même aussi l’Esprit nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu’il nous convient de demander dans nos prières. Mais l’Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables Romains 8:26.

Le Saint Esprit est l’Eternel Dieu qui nous assiste.  De nos jours, plusieurs ne ressentent plus Sa présence, plusieurs n’entendent plus Sa douce voix, plusieurs ne Le côtoient plus  vraiment, car ils sont devenus insensibles à Lui, ils vivent leur foi par l'intelligence et par religiosité parce qu'ils ont éteint le Saint Esprit en eux à force de L ’attrister. N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption Ephésiens 4:30.

Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu Romain 8:14.

Quand on devient insensible au Saint Esprit, cela se matérialise par le mal qui reprend place dans notre cœur ; le péché n’est plus aussi grave pour nous et l’envie de repentance n’est plus ressentie. Nous devenons alors insensibles à la présence du Saint Esprit pendant les cultes ou quand Il nous visite. On n’hésite plus trop à céder à une tentation pendant qu’avant nous étions disposés à combattre la tentation et à nous garder sanctifiés. Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui ; et nous connaissons qu’il demeure en nous par l’Esprit qu’il nous a donné 1 Jean 3:24.  

L’Eglise s’est éloignée du Saint Esprit, cela se voit par les temps de culte de nos jours…on a l’impression que le Saint Esprit ne nous visite plus ; mais cela n’est pas vrai, car Il vient toujours au rendez-vous quand 2 ou 3 personnes sont unies au nom de Jésus Christ ; sauf que peu sont ceux qui peuvent ressentir Sa présence, peu sont ceux qui dirigent, chantent, prêchent ou parlent par Lui, par l’Esprit, pendant qu’Il n’attend qu’à mettre à la disposition des enfants de Dieu Sa PUISSANCE, Son ONCTION et Sa SAGESSE.


Le Saint Esprit n’a plus assez de domiciles où Il pourrait résider, car beaucoup l’ont mis dehors, pour laisser entrer en eux des Esprits méchants et impurs qui ne glorifient pas Dieu. Ne vous enivrez pas de vin : c’est de la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l’Esprit ; Ephésiens 5:18

Le Saint Esprit en nous a besoin d’être entretenu pour demeurer en nous. Il ne peut cohabiter avec aucun autre Esprit…Pour l’entretenir, nous avons besoin d’utiliser au quotidien des armes de Dieu en éphésien 6 :11.

 

 

Saint Esprit reste en moi à jamais !


24/11/2012
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Nous avons tous plus ou moins de talent dans un certain domaine, grâce au don que Dieu nous a donné. Mais qu’en faisons-nous ?

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous avons tous plus ou moins de talent dans un certain domaine, grâce au don que Dieu nous a donné. Mais qu’en faisons-nous ?

 

Ce que Dieu nous confie, nous en sommes gestionnaires  Dieu, dans sa sagesse, confie des poids à chacun. Que ce soit un talent naturel, ou que ce soit complété à la conversion par un talent surnaturel… Dieu ne donnera jamais plus que ce que nous sommes capables d’avoir ! Jésus donne ce que nous sommes capables de gérer… Et nous en sommes gestionnaires… C’est-à-dire qu’il nous appartient de prendre ce que Dieu nous donne, et de bien l’utiliser.

 

Ce que Dieu nous confie, nous en sommes responsables  Il n’y a en fait que deux réactions possibles :  J’utilise avec Dieu — je multiplie les talents qu’il me confie.  Je m’en fiche de Dieu — je ne veux même pas toucher ce qu’il me donne.  Ce que Dieu nous confie, nous en serons récompensés  Ceux qui ont mis à profit leur talent pour le Seigneur reçurent une récompense :

D’abord l’approbation de Dieu en personne !  Ensuite l’honneur d’un service particulier dans l’éternité  Enfin une participation particulière à la joie de Dieu.  Mais pour ceux qui n’en font rien ?  La sentence de Jésus est sans appel. Le serviteur inutile est jeté dehors, exclu du royaume. Il partagera le sort tragique des méchants. Ce n’est pas pour avoir négligé de faire fructifier son talent qu’il est condamné, c’est pour n’avoir pas eu la foi qui sauve, comme le prouve l’absence de bonnes œuvres.

 

J’espère que vous comprenez maintenant pourquoi Jésus insiste tant sur cette question. Il n’y a pas de question plus pénétrante, plus importante, que celle des peines éternelles. L’enfer et le paradis ne sont que des destinations, pas des récompenses. Il ne faut pas seulement avoir Jésus sur les lèvres pour être sauvé. Une vie de service est la marque, la caractéristique de celui qui aime Dieu – Êtes-vous caractérisé par cela 

Nous avons tous plus ou moins de talent dans un certain domaine, grâce au don que Dieu nous a donné. Mais qu’en faisons-nous ?

 

La réalité de la foi se mesure aussi au service (Matt 25.14-30)

Ce que Dieu nous confie, nous en sommes gestionnaires  Dieu, dans sa sagesse, confie des poids à chacun. Que ce soit un talent naturel, ou que ce soit complété à la conversion par un talent surnaturel… Dieu ne donnera jamais plus que ce que nous sommes capables d’avoir ! Jésus donne ce que nous sommes capables de gérer… Et nous en sommes gestionnaires… C’est-à-dire qu’il nous appartient de prendre ce que Dieu nous donne, et de bien l’utiliser.

Ce que Dieu nous confie, nous en sommes responsables  Il n’y a en fait que deux réactions possibles :  J’utilise avec Dieu — je multiplie les talents qu’il me confie.  Je m’en fiche de Dieu — je ne veux même pas toucher ce qu’il me donne.  Ce que Dieu nous confie, nous en serons récompensés  Ceux qui ont mis à profit leur talent pour le Seigneur reçurent une récompense :

D’abord l’approbation de Dieu en personne !  Ensuite l’honneur d’un service particulier dans l’éternité  Enfin une participation particulière à la joie de Dieu.  Mais pour ceux qui n’en font rien ?  La sentence de Jésus est sans appel. Le serviteur inutile est jeté dehors, exclu du royaume. Il partagera le sort tragique des méchants. Ce n’est pas pour avoir négligé de faire fructifier son talent qu’il est condamné, c’est pour n’avoir pas eu la foi qui sauve, comme le prouve l’absence de bonnes œuvres.

 

J’espère que vous comprenez maintenant pourquoi Jésus insiste tant sur cette question. Il n’y a pas de question plus pénétrante, plus importante, que celle des peines éternelles. L’enfer et le paradis ne sont que des destinations, pas des récompenses. Il ne faut pas seulement avoir Jésus sur les lèvres pour être sauvé. Une vie de service est la marque, la caractéristique de celui qui aime Dieu – Êtes-vous caractérisé par cela ?


20/11/2012
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Les promesses de Dieu....

 

 

 

 

 

 

Celui qui lit la Bible attentivement trouvera son message vivant et complet, parce que son auteur est Dieu lui-même. Il nous interroge, nous fait connaître nos vrais besoins, et nous apporte des promesses qui les comblent. En voici quelques échantillons:

– Le pardon: “Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; s'ils sont rouges comme l'écarlate, ils seront comme la laine” (Ésaïe 1. 18). “C'est moi qui efface tes transgressions à cause de moi-même; et je ne me souviendrai pas de tes péchés” (Ésaïe 43. 25).

– La vie éternelle: “Moi, je leur donne la vie éternelle”, dit Jésus (Jean 10. 28). “Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement; mais il est passé de la mort à la vie” (Jean 5. 24).

– Une certitude: “Tout cela, je vous l'ai écrit afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu” (1 Jean 5. 13).

– Une relation avec Dieu: “À tous ceux qui l'ont reçu (Jésus), il leur a donné le droit d'être enfants de Dieu, c'est-à­dire à ceux qui croient en son nom” (Jean 1. 12).

– La paix du cœur: “Je vous laisse la paix; je vous donne ma paix; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre cœur ne soit pas troublé, ni craintif” (Jean 14. 27).

– L'attente paisible d'un heureux avenir: “Attendant la bienheureuse espérance et l'apparition de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur Jésus Christ” (Tite 2. 13).

 

 

Dieu n'est pas un homme, pour mentir.  " Nb.23/19 "

 


13/11/2012
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