A la lumiére des Saintes Ecritures...

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L'Evangile De Jean - Chapitre 12


10/03/2013
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L’Évangile De Jean - Chapitre 10

 


16/02/2013
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L’Évangile de Jean. Chapitre.9


12/02/2013
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L’Évangile De Jean - Chapitre 8

 

 

 

 

 

 

 

8:1
Jésus se rendit à la montagne des oliviers.
8:2
Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à lui. S'étant assis, il les enseignait.
8:3
Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère ;
8:4
et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère.
8:5
Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ?
8:6
Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre.
8:7
Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle.
8:8
Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre.
8:9
Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu'aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu.
8:10
Alors s'étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t'accusaient ? Personne ne t'a-t-il condamnée ?
8:11
Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus.
8:12
Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.
8:13
Là-dessus, les pharisiens lui dirent : Tu rends témoignage de toi-même ; ton témoignage n'est pas vrai.
8:14
Jésus leur répondit : Quoique je rende témoignage de moi-même, mon témoignage est vrai, car je sais d'où je suis venu et où je vais ; mais vous, vous ne savez d'où je viens ni où je vais.
8:15
Vous jugez selon la chair ; moi, je ne juge personne.
8:16
Et si je juge, mon jugement est vrai, car je ne suis pas seul ; mais le Père qui m'a envoyé est avec moi.
8:17
Il est écrit dans votre loi que le témoignage de deux hommes est vrai ;
8:18
je rends témoignage de moi-même, et le Père qui m'a envoyé rend témoignage de moi.
8:19
Ils lui dirent donc : Où est ton Père ? Jésus répondit : Vous ne connaissez ni moi, ni mon Père. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père.
8:20
Jésus dit ces paroles, enseignant dans le temple, au lieu où était le trésor ; et personne ne le saisit, parce que son heure n'était pas encore venue.
8:21
Jésus leur dit encore : Je m'en vais, et vous me chercherez, et vous mourrez dans votre péché ; vous ne pouvez venir où je vais.
8:22
Sur quoi les Juifs dirent : Se tuera-t-il lui-même, puisqu'il dit : Vous ne pouvez venir où je vais ?
8:23
Et il leur dit : Vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde.
8:24
C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés.
8:25
Qui es-tu ? lui dirent-ils. Jésus leur répondit : Ce que je vous dis dès le commencement.
8:26
J'ai beaucoup de choses à dire de vous et à juger en vous ; mais celui qui m'a envoyé est vrai, et ce que j'ai entendu de lui, je le dis au monde.
8:27
Ils ne comprirent point qu'il leur parlait du Père.
8:28
Jésus donc leur dit : Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m'a enseigné.
(...)
8:32
vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.
(...)
8:51
En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort.
8:52
Maintenant, lui dirent les Juifs, nous connaissons que tu as un démon. Abraham est mort, les prophètes aussi, et tu dis : Si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort.
8:53
Es-tu plus grand que notre père Abraham, qui est mort ? Les prophètes aussi sont morts. Qui prétends-tu être ?
8:54
Jésus répondit : Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien. C'est mon père qui me glorifie, lui que vous dites être votre Dieu,
8:55
et que vous ne connaissez pas. Pour moi, je le connais ; et, si je disais que je ne le connais pas, je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le connais, et je garde sa parole.
8:56
Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour : il l'a vu, et il s'est réjoui.
8:57
Les Juifs lui dirent : Tu n'as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham !
8:58
Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis.
8:59
Là-dessus, ils prirent des pierres pour les jeter contre lui ; mais Jésus se cacha, et il sortit du temple.


31/12/2012
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L’Évangile De Jean - Chapitre 7

 

 

 

 

 


Après cela, Jésus parcourait la Galilée, car il ne voulait pas séjourner en Judée, parce que les Juifs cherchaient à le faire mourir.
Or, la fête des Juifs, la fête des Tabernacles, était proche.
Et ses frères lui dirent : Pars d'ici, et va en Judée, afin que tes disciples voient aussi les oeuvres que tu fais.
Personne n'agit en secret, lorsqu'il désire paraître : si tu fais ces choses, montre-toi toi-même au monde.
Car ses frères non plus ne croyaient pas en lui.
Jésus leur dit : Mon temps n'est pas encore venu, mais votre temps est toujours prêt.
Le monde ne peut vous haïr ; moi, il me hait, parce que je rends de lui le témoignage que ses oeuvres sont mauvaises.
Montez, vous, à cette fête ; pour moi, je n'y monte point, parce que mon temps n'est pas encore accompli.
Après leur avoir dit cela, il resta en Galilée.
Lorsque ses frères furent montés à la fête, il y monta aussi lui-même, non publiquement, mais comme en secret.
Les Juifs le cherchaient pendant la fête, et disaient : Où est-il ?
Il y avait dans la foule grande rumeur à son sujet. Les uns disaient : C'est un homme de bien. D'autres disaient : Non, il égare la multitude.
Personne, toutefois, ne parlait librement de lui, par crainte des Juifs.
Vers le milieu de la fête, Jésus monta au temple. Et il enseignait.
Les Juifs s'étonnaient, disant : Comment connaît-il les Écritures, lui qui n'a point étudié ?
Jésus leur répondit : Ma doctrine n'est pas de moi, mais de celui qui m'a envoyé.
Si quelqu'un veut faire sa volonté, il connaîtra si ma doctrine est de Dieu, ou si je parle de mon chef.
Celui qui parle de son chef cherche sa propre gloire ; mais celui qui cherche la gloire de celui qui l'a envoyé, celui-là est vrai, et il n'y a point d'injustice en lui.
Moïse ne vous a-t-il pas donné la loi ? Et nul de vous n'observe la loi. Pourquoi cherchez-vous à me faire mourir ?
La foule répondit : Tu as un démon. Qui est-ce qui cherche à te faire mourir ?
Jésus leur répondit : J'ai fait une oeuvre, et vous en êtes tous étonnés.
Moïse vous a donné la circoncision, -non qu'elle vienne de Moïse, car elle vient des patriarches, -et vous circoncisez un homme le jour du sabbat.
Si un homme reçoit la circoncision le jour du sabbat, afin que la loi de Moïse ne soit pas violée, pourquoi vous irritez-vous contre moi de ce que j'ai guéri un homme tout entier le jour du sabbat ?
Ne jugez pas selon l'apparence, mais jugez selon la justice.
Quelques habitants de Jérusalem disaient : N'est-ce pas là celui qu'ils cherchent à faire mourir ?
Et voici, il parle librement, et ils ne lui disent rien ! Est-ce que vraiment les chefs auraient reconnu qu'il est le Christ ?
Cependant celui-ci, nous savons d'où il est ; mais le Christ, quand il viendra, personne ne saura d'où il est.
Et Jésus, enseignant dans le temple, s'écria : Vous me connaissez, et vous savez d'où je suis ! Je ne suis pas venu de moi-même : mais celui qui m'a envoyé est vrai, et vous ne le connaissez pas.
Moi, je le connais ; car je viens de lui, et c'est lui qui m'a envoyé.
Ils cherchaient donc à se saisir de lui, et personne ne mit la main sur lui, parce que son heure n'était pas encore venue.
Plusieurs parmi la foule crurent en lui, et ils disaient : Le Christ, quand il viendra, fera-t-il plus de miracles que n'en a fait celui-ci ?
que Jésus n'avait pas encore été glorifié.
(...)

Il y eut donc, à cause de lui, division parmi la foule.
Quelques-uns d'entre eux voulaient le saisir, mais personne ne mit la main sur lui.
Ainsi les huissiers retournèrent vers les principaux sacrificateurs et les pharisiens. Et ceux-ci leur dirent : Pourquoi ne l'avez-vous pas amené ?
Les huissiers répondirent : Jamais homme n'a parlé comme cet homme.
Les pharisiens leur répliquèrent : Est-ce que vous aussi, vous avez été séduits ?
Y a-t-il quelqu'un des chefs ou des pharisiens qui ait cru en lui ?
Mais cette foule qui ne connaît pas la loi, ce sont des maudits !
Nicodème, qui était venu de nuit vers Jésus, et qui était l'un d'entre eux, leur dit :
Notre loi condamne-t-elle un homme avant qu'on l'entende et qu'on sache ce qu'il a fait ?
Ils lui répondirent : Es-tu aussi Galiléen ? Examine, et tu verras que de la Galilée il ne sort point de prophète.
Et chacun s'en retourna dans sa maison.


27/12/2012
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L'Evangile De Jean - Chapitre 6

 

 

 

 

 


Après cela, Jésus s'en alla de l'autre côté de la mer de Galilée, de Tibériade.
Une grande foule le suivait, parce qu'elle voyait les miracles qu'il opérait sur les malades.
Jésus monta sur la montagne, et là il s'assit avec ses disciples.
Or, la Pâque était proche, la fête des Juifs.
Ayant levé les yeux, et voyant qu'une grande foule venait à lui, Jésus dit à Philippe : Où achèterons-nous des pains, pour que ces gens aient à manger ?
Il disait cela pour l'éprouver, car il savait ce qu'il allait faire.
Philippe lui répondit : Les pains qu'on aurait pour deux cents deniers ne suffiraient pas pour que chacun en reçût un peu.
Un de ses disciples, André, frère de Simon Pierre, lui dit :
Il y a ici un jeune garçon qui a cinq pains d'orge et deux poissons ; mais qu'est-ce que cela pour tant de gens ?
Jésus dit : Faites-les asseoir. Il y avait dans ce lieu beaucoup d'herbe. Ils s'assirent donc, au nombre d'environ cinq mille hommes.
Jésus prit les pains, rendit grâces, et les distribua à ceux qui étaient assis ; il leur donna de même des poissons, autant qu'ils en voulurent.
Lorsqu'ils furent rassasiés, il dit à ses disciples : Ramassez les morceaux qui restent, afin que rien ne se perde.
Ils les ramassèrent donc, et ils remplirent douze paniers avec les morceaux qui restèrent des cinq pains d'orge, après que tous eurent mangé.
Ces gens, ayant vu le miracle que Jésus avait fait, disaient : Celui-ci est vraiment le prophète qui doit venir dans le monde.
Et Jésus, sachant qu'ils allaient venir l'enlever pour le faire roi, se retira de nouveau sur la montagne, lui seul.
Quand le soir fut venu, ses disciples descendirent au bord de la mer.
Étant montés dans une barque, ils traversaient la mer pour se rendre à Capernaüm. Il faisait déjà nuit, et Jésus ne les avait pas encore rejoints.
Il soufflait un grand vent, et la mer était agitée.
Après avoir ramé environ vingt-cinq ou trente stades, ils virent Jésus marchant sur la mer et s'approchant de la barque. Et ils eurent peur.
Mais Jésus leur dit : C'est moi ; n'ayez pas peur !
Ils voulaient donc le prendre dans la barque, et aussitôt la barque aborda au lieu où ils allaient.
La foule qui était restée de l'autre côté de la mer avait remarqué qu'il ne se trouvait là qu'une seule barque, et que Jésus n'était pas monté dans cette barque avec ses disciples, mais qu'ils étaient partis seuls.
Le lendemain, comme d'autres barques étaient arrivées de Tibériade près du lieu où ils avaient mangé le pain après que le Seigneur eut rendu grâces,
les gens de la foule, ayant vu que ni Jésus ni ses disciples n'étaient là, montèrent eux-mêmes dans ces barques et allèrent à Capernaüm à la recherche de Jésus.
Et l'ayant trouvé au delà de la mer, ils lui dirent : Rabbi, quand es-tu venu ici ?
Jésus leur répondit : En vérité, en vérité, je vous le dis, vous me cherchez, non parce que vous avez vu des miracles, mais parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés.
Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle, et que le Fils de l'homme vous donnera ; car c'est lui que le Père, que Dieu a marqué de son sceau.
Ils lui dirent : Que devons-nous faire, pour faire les oeuvres de Dieu ?
Jésus leur répondit : L'oeuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé.
Quel miracle fais-tu donc, lui dirent-ils, afin que nous le voyions, et que nous croyions en toi ? Que fais-tu ?
Nos pères ont mangé la manne dans le désert, selon ce qui est écrit : Il leur donna le pain du ciel à manger.
Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous donne le vrai pain du ciel ;
car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde.
Ils lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain.
Jésus leur dit : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif.
Mais, je vous l'ai dit, vous m'avez vu, et vous ne croyez point.
Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi 
car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.
Or, la volonté de celui qui m'a envoyé, c'est que je ne perde rien de tout ce qu'il m'a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour.
La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour.


07/12/2012
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